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CLASS'HPI - Collège & Lycée | L'Ecole des parents | Scolarité des HPI | Témoignages & Enquêtes |
1/. Bonjour, je vais partager
l'expérience de ma fille scolarisée à l 'école... Depuis la
maternelle, on a décelé des problèmes chez elle. Chaque année, les
professeurs demandaient l'aide de la psychologue scolaire. Elle s ennuie, est
étourdie et assez lente après l'avoir vu et un test de QI qui la classe dans
les moyennes haute 127. Il conclut que tout va bien en CE2 mais ça
continue en CM1, toujours les mêmes problèmes. 2/. Je suis la
maman de trois garçon. Mes 2 plus grands ont été diagnositqués à haut
potentiel et très haut potentiel alors qu'ils se trouvaient en grande
souffrance scolaire. Pour l'aîné, aujourd'hui âgé de 17 ans, dépisté à 9 ans
par la psychologue qui le suivait du fait de son mal être, l'école n'a rien
fait pour lui. Refus de sauter une classe, etc. Il doit son salut qu'à ses
activités extra-scolaire et notre soutien. Cela a toujours été facile, trop
facile ; aujourd'hui en terminale, il panique, ne sait comment s'organiser...
Il est suivi pas une psychologue et un professeur en tutorat (lycée pilote
dans la prise en charge des EIP). 3/. Si vous saviez comment
cela se passe à la Réunion ! C'est terrible !
Il a toujours été très provocateur vis à vis des
instituteurs, avec des crises de nerfs difficiles à faire passer. Il a en
fait suivi la petite et moyenne section en même temps, puis il est allé en
moyen-grand. Le redoublement de cette classe a été catastrophique. Son
comportement était encore plus perturbé, certains gestes violents. Les
apprentissages scolaires n'ont jamais posé problème. En maternelle. il savait
lire, et les mathématiques sont son domaine de prédilection, encore
aujourd'hui. Les sauts de classe ont plutôt amélioré son comportement, il
parait plus apaisé, moins provoquant.
Sur lettre du psychiatre (et avec une évaluation
psychométrique, réalisée pour appuyer la demande), je suis allée voir la
principale du collège pour lui exposer les difficultés de notre fille, et ai
longuement discuté avec elle.
Le saut de
classe du CM1 (école publique) a été bénéfique, ses résultats scolaires ont
excellé après le saut de classe en CM2. Ma fille a repris confiance en elle
et surtout goût à l'école. La reconnaissance de l'enseignant a beaucoup joué
également. Cependant aucun accompagnement n'était mis en place et aucune
différenciation n'avait lieu dans la classe, mais l'enseignant lui permettait
de lire après son travail, ce qui lui permettait de moins s'ennuyer. Nous
avons fait le choix d'un établissement adapté dès la sixième dans un
établissement privé sous contrat (classe pour enfants précoces) ma fille est
aujourd'hui en 4ème, heureuse à l'école, toujours en tête de classe, très
épanouie et déléguée depuis 3 ans, elle est parfaitement intégrée alors
qu'elle était si isolée et malheureuse en école élémentaire.
25
familles de l'AEHPI ont contacté le réseau et témoigné sur les
suites apportées. Le réseau est maintenant connu, les familles se
dirigent par initiative personnelle ou sur les conseils de professeurs.
Notre association continu d'orienter les familles vers le réseau EIP et
de signaler leur situation. Certaines familles hésitent encore. Bilan positif car le pourcentage de satisfaction à nettement évolué passant de 27,3 % des familles satisfaites en 2014 1/J’avais déjà sollicité le réseau l’an dernier (absentéisme et phobie scolaire chez pour lequel il était suivi). La référente Académique avait répondu à mon courriel et avait pris contact avec le collège où il était scolarisé (13 ans-5°). Après RDV avec la principale adjointe, pas de réelle solution : « vous comprenez, s’il faut en plus dire aux professeurs d’aller voir sur le site les outils pédagogiques … » (je retrace ses paroles). Pas de suite de la part du réseau. Elle est restée aux portes du collège entre les institutionnels.
22 familles
de l'AEHPI ont contacté le réseau et témoigné sur les suites
apportées.Toutes les familles affirment avoir connu le réseau par
l'intermédiaire de notre association et l'avoir solllicté sur notre
recommandation. 72.7 % des familles se disent pas ou peu satisfaites
(2 familles regrettent que les aménagement scolaires se font attendre et 14
familles témoignent que rien n'a changé pour leur enfant.). Et 6 familles
disent que la situations de leur enfant s'est améliorée. 1/J’avais
déjà sollicité le réseau l’an dernier (absentéisme et phobie scolaire
chez pour lequel il était suivi). La référente Académique avait répondu à mon
courriel et avait pris contact avec le collège où il était scolarisé (13
ans-5°). Après RDV avec la principale adjointe, pas de réelle solution :
« vous comprenez, s’il faut en plus dire aux professeurs d’aller voir
sur le site les outils pédagogiques … » (je retrace ses paroles).
Pas de suite de la part du réseau. Elle est restée aux portes du collège
entre les institutionnels. Notre fils a fait la rentrée 2012 puis a refusé d’y
retourner non plus réellement par angoisse mais plutôt par sentiment
d’injustice et de révolte « tu vois , ils ont rien fait et rien ne
va changer ». Suite à la non mise en place d’un PPRE à la pré-rentrée
(engagement du collège en équipe éducative), nous avons pris la décision de
déscolariser notre fils. J’ai donc effectué auprès de l’académie les
formalités administratives en expliquant le motif de notre décision et
envoyer en parallèle copie du courrier au réseau EIP 34 avec une historique
de mes démarches depuis 2011, suivi d’un mail en octobre. Il a répondu à mon
mail m’informant qu’il s’était entretenu avec la référente. Et m'informait le
mois d'après qu’il n’avait pu avoir le principal du collège et qu’il nous
tenait au courant. Je n’ai plus eu de nouvelles de lui. MES IMPRESSIONS : Mon sentiment dans cette
histoire personnelle est, qu’encore une fois, cela se joue entre les
institutions et que les familles sont un peu mises en berne, voire
exclues ! qu’elles subissent les décisions (ou non décision
d’ailleurs !). Je ne doute pas de la bonne foi des membres du
réseau (puisqu’ils se sont manifestés quand je les ai contacté) mais je
demeure sceptique sur leur poids à faire bouger les choses . A quoi cela
sert-il de solliciter le réseau si la demande reste un dossier, que peu
d’infos redescendent aux familles sur les démarches entreprises par ce
dernier et que l’on ne sait pas concrètement si notre démarche a servi
à quelque chose ou n’aboutit pas dans l’établissement ? Certes, dans mon
cas de figure, ayant pris la décision de déscolariser Thibaut, la situation
posait moins de problème (sauf que Thibaut n’a pas fini sa
scolarité !!!) et puis parce que j’ai également, d’une certaine
manière, laissé tomber pour le moment, préférant consacrer mon énergie à
remettre sur pieds Thibaut dans son estime personnelle. Avoir un réseau académique, c’est bien, mais
faudrait-il encore qu’il puisse être autre chose qu’un lieu d’informations
institutionnel, qu’il puisse être plus efficient auprès des
établissements ! (Un peu d’amertume de ce côté-là, je dois bien
l’avouer). (déc. 2012) 2/ mon enfant était en CP
et présentait un refus scolarité et un état de souffrrance, nous avons fait
faire nous mêmes le test de QI car il n'y avait aucune écoute de
l'enseignante, nous avons donc pu faire intervenir le directeur et le réseau;
un saut de classe nous a été proposé 4 mois plus tard, ce que nous avons
accepté; malheureusement depuis la rentrée, sa spécificité n'est plus
reconnue (changement de directeur de l'école) et de nouvelles difficultés se
font sentir; la réponse est donc pour nous insuffisante...(oct.2012). 3/ J'ai contacté le
réseau afin d'appuyer une accélération du cycle de maternelle pour un enfant
amorçant la lecture à 4 ans.Déplacement de la référente et front de l'équipe
pédagogique. (20 février 2013) 4/ Nous avons informé le
reseau que notre fille etait HPI en octobre 2012. Le réseau EIP 34 nous a
repondu rapidement en explicant qu'il transmettait notre mail a l'inspectrice
de circonscritpion. Suite a cela l'inspectrice nous a aussi envoyé un mail
nous informant qu'elle veillerait que des choses spécifiques soient mises en
place pour notre fille ( nous ne demandions rien de particulier). Pour
l'instant il a été dit qqu'un PPRE serait mis en place mais toujours rien (
cela fait trois mois) 5/ Nous avons contacté le
réseau par email pour une demande de suivi de notre enfant. Nous avons eu une
réponse rapide et plutôt très satisfaisante au sein du réseau. Cependant à
l'école, notre enfant a été testé de nouveau à la rentrée 2012, confirmé,
puis nous avons eu 2 rdv avec les psychologues et la maitresse. Cela n'a été
suivi d'aucuns effets, ni de mesures particulières, excepté un atelier test
d'écriture mis en place par le rased à destination d'enfants en difficultés
pour les aider à trouver leur place d'élève. Par contre, après ces rdv, il y
a eu une amélioration de l'anxiété chez notre enfant mais elle a toujours
comme elle le dit elle-même "des problèmes avec l'école" qui lui paraissent
sans solutions et qu'elle appelle "des décalages avec les
maitresses". Sa demande récente est de changer d'école pour aller dans
une école spécialisée - ce dont financièrement nous n'avons pas les moyens.
Nous avons par ailleurs opté pour la reprise de consultations chez une
psychologue. La maitresse maintenant m'adresse très peu la parole, soupire et
lève les yeux au ciel fréquemment, et nous donne le sentiment d'être des
parents abusifs. Malgré tout, il semble qu'un lien ait été créé avec la psychologue
scolaire avec un bon dialogue possible, par contre en classe je ne crois pas
que quelque chose de particulier ait été fait. Excepté que la maitresse a
demandé à ma fille de ne plus rien me raconter afin de ne pas m'inquiéter et
de ne pas me faire de la peine (je suis la maman). Elle est aussi grondée
plus souvent, y compris par la directrice, pour ses retards (nous ne pouvons
pas leur donner tort) mais il me semble que comme elles connaissent la
situation (refus d'aller à l'école, simulations de maladies, maux de ventre,
paralysie au lit, wc à la dernière minute, pleurs, anxiété, peurs, réveils
nocturnes, difficultés d'endormissement...) elles pourraient agir
différemment. En fonction de l'évolution des prochaines semaines, nous
envisageons de recontacter l'inspection académique. Mon conjoint a par
ailleurs demandé un entretien avec la maitresse comme prévu, et sa demande
est restée sans réponse. (janvier 2013) 6/ Mon enfant de 8 ans
(CE2) vient d'être disgnostiqué EIP avec un QI général de 141. J'ai contacté
le réseau car je voulais savoir où inscrire mon enfant en 6e et quelles aides
il pouvait avoir. Je n'ai pas eu de réponse au mail envoyé.(février 2013) ...
Notre fils est détecté
EIP depuis l'age de 4ans. Depuis pour tout ce qui touche à l'école devient
l’enfer. Notre fils se pense en prison, n'aime pas l'école, a juste des
résultats moyens....Nous avons tenté de faire entendre sa différence auprès
des enseignants...en vain..."Vu c'est résultats....on voit pas la
précocité"...Pourtant tous l'affirme , le psychologue, le CMP, la
psychomotricienne...même nous, nous voyons la différence au quotidien. A la
maison c'est un enfant, normal, heureux, sans trouble du
comportement....Alors que l'Ecole veut le mettre sous traitement
médicamenteux, l'orienter en SEGPA...
Une rentrée en 6eme avec
beaucoup de curiosité, a très bien intégré le changement d'organisation par
rapport au primaire. Des difficultés peu visibles dans les aprentissages, qui
se sont agravés au fil des classes. Au (02cun ppre ou autre n'a été mis en
place pour guider mon enfant et l'aider à trouver des méthodes de travail. Heureusement
que l'aide est venu de l'association AEHPI
Madame, Monsieur, Mon fils, en Terminale L n'a pas obtenu son bac
cette année. Au regard statistique, Gabriel a déjà fait mieux que 20%
d'enfants surdoués qui s'arrêtent avant le bac. Je tiens par la présente à remercier ouvertement Mme
FAIVRE, Conseillère Principale d'Education au Lycée, Mr Chamont,
Psychanalyste à Nîmes et Mme GAILLARD, consultante spécialisée sur le sujet
de la Précocité Intellectuelle à Montpellier pour leur aide dans les moments
difficiles. Je considère également de mon devoir de témoigner,
d'alerter et d'agir. S'il
suffisait de gronder Gabriel quand il était petit pour le faire travailler,
il a fallu beaucop punir à partir de la 6ème et à l'arrivée en troisième, les
hostilités étaient déclarées. Rentré en guerre mais écrasé par une scolarité
de plus en plus lourde, Gabriel a fini en seconde par déserter. Sa mise en
danger "scolaire et personnelle" a conduit à presque 16 ans à la
détection de sa précocité intellectuelle.
Chers amis, Il faut
rendre hommage à votre travail, acharné, constant, passionné, pour faire
avancer la cause des petits eip (ou surdoués, hp etc..).Ce sont vos documents
qui m'ont permis de découvrir le phénomène et ont permis à d'autres
enseignants d'adapter leur pédagogie. La loi
d'orientation et les circulaires ministérielles qui l'ont suivies conduisent
à souhaiter l'intégration de toutes les formes de handicap dans tous les
établissements. Je ne parle que de ce que je connais: l'enseignement public,
et j'ai déjà expliqué dans Le Paradoxe que vouloir l'intégration
partout, c'est ne la réaliser nulle part. Il serait
plus réaliste de se fixer pour objectif des établissements répartis sur le
territoire national avec le projet de constituer des équipes opérationnelles
et d'y autoriser les regroupements d'enfants nécessitant cet accueil
spécifique qu'on appelle pédagogie différenciée. Des objectifs limités à
l'école primaire et au collège (en laissant à l'école maternelle l'éventuelle
détection et en reconnaissant qu'à partir de la seconde les jeux sont faits)
constituent un projet réaliste tenant compte des ressources humaines
disponibles. Daniel Jachet
(Courrié adressé aussi aux responsables de l'ANPEIP, de l'AFEP et de
l'AAREIP)
C'est avec le
plus grand plaisir que j'aurais aimée participer à ce débat* qui me touche
personnellement car mon fils de 8 ans est un enfant "précoce",
"surdoué", "à haut potentiel intellectuel": comment le
qualifier ? Malheureusement, je ne peux pas y assister car je dois m'occuper
de mes enfants à cette heure tardive. La langue française n'a pas de mots
pour parler de ces enfants, les enseignants ne sont pas formés pour
accueillir, ni dépister ces enfants... * Fim "Vitus
l'enfant prodige" suivi d'un débat organisé par l'AEHPI :
Quelle vision avons-nous de ces enfants ? De brillants élèves, des génies
comme Einstein ou même Mozart ?... Certains pensent que c'est plus un
handicap qu'un don, d'autres diront qu'ils doivent s'adapter, se fondre dans
la masse au risque de nier leur potentiel. Qu'en pensez-vous ? |
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Une professionnelle
"j'ai découvert le concept de norme et d'exception" |
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Je me permets
de vous contacter suite à votre intervention au stage " Précocité
intellectuelle et scolarisation "*. Au départ
j'avais choisi ce stage en pensant qu'il pourrait enrichir ma pratique
professionnelle ( je travaille avec des ENA et des élèves en difficulté
scolaire ) et aussi par intérêt personnel pour le sujet, mais la dernière
demi journée de stage m'a énormément interpellée sur le plan personnel au
travers d'exemples et d'anecdotes dont vous nous avez fait part. J'ai commandé deux des
ouvrages que nous avez permis de feuilleter, mais j'ai deux grandes
interrogations :
- en quoi certaines formes d'autisme et le HPI se ressemblent-ils au point de pouvoir provoquer un mauvais diagnostic ? - il est fait plusieurs fois allusion à la maltraitance des enfants HPI, or s'agit-il d'une maltraitance plutôt dans le cadre scolaire du fait de la différence de ces enfants, ou plutôt dans le cadre familial du fait que ces enfants peuvent être entre autres déstabilisants et épuisants pour leurs parents ? Ce sujet m'intéresse entre autres car j'ai un élève de 5e que je " soupçonne " depuis le début d'être HPI, or cet enfant a aussi des troubles du comportement, est sous traitement médical et est placé en maison d'enfants depuis qu'il a 5 ans. Sans doute a-t-il été testé à maintes reprises, aurait-on pu passer à côté du diagnostic HPI ? D'avance merci si vous pouvez me répondre, mais je comprendrai que vous soyez trop occupée.
* Formation continue DAFPEN "Précocité intellectuelle et scolarisation",
intervenant : Véronique GAILLARD |
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Hyperactivité, dificit d'attention,
retard scolaire.. et HPI, un manque de prise en charge adaptée et de
diagnostic précoce. |
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Ma fille a 10
ans et a été diagnostiquée "précoce" en cp après deux ans de
"recherches" de ma part car je ne comprenais pas ce qu'elle avait:
une hyperactivité cérébrale avec un lourd déficit d'attention a pu être
révélée, et des médicaments ont pu enlever (un peu!) ces symptômes qui
camouflaient le hpi. |
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Malententus, mauvaise orientation,
démotivation... un ado en décrochage scolaire
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Bonjour, par
manque de moyens financiers, malheureusement nous n'avons pas pu mettre notre
fils dans une école spécialisée pour enfant précoce découvert à l'âge de 5
ans 1/2. A ce jour, il a 15 ans ½ redouble la seconde au lycée
"...". Erreur du professeur principal de 3ème d'orientation pour la
seconde, on lui a imposé SES, il souhaitait ISI, ce qui n'a pas motivé notre
fils d'ou décrochage, manque d'intérêt. Nous l'avions signalé par mail au
directeur du collège, sa réponse « ce n'est plus de mon ressort, les dossiers
sont terminés, voir avec le Lycée ». |
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La vie de tous les jours en un
combat permanent |
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Parents d'un
garçon de 8 ans (CE1), découvert HPI en CP, très démunis par ses accés de
colère et sa résistance à l'autorité. |
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Des changements parfois
s'imposent ! |
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Maman de deux
enfants précoces je suis bien contente de recervoir vos programmes. Je
remercie aussi Veronique Gaillard qui m'a beaucoup aidé après la decouverte
du diagnostic de mon petit dernier qui rencontrait un réel souci
d'adaptation et de sociabilisation en milieu scolaire. |
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Mon petit bonhomme pleura devant
l'injustice... En CP avec 80 % de réussite au évaluation de CE1 |
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Je tiens à témoigner de mon expérience personnelle concernant les difficultés rencontrées dans la prise en compte de la « précocité intellectuelle » de notre fils au cours de son parcours scolaire, et de l’aide bénévole précieuse apportée par une association telle que l’AE-HPI LR . Notre fils s’est toujours montré « vif ». Tout petit, vers 2 ans, alors qu’il était en crèche, je me suis un peu inquiétée, me demandant s’il était hyperactif (il en était beaucoup question à l’époque), car je le trouvais hyper réactif (en intensité de réponse et en rapidité de réaction) à toute sollicitation sonore. Heureusement, à la même époque, les dames de la crèche m’ont fait remarquer qu’il était capable d’attention particulièrement soutenue lors des activités calmes, assis à une table. Je me souviens de ma réaction « Ah vous me rassurez car je commençais à me demander s’il n’était pas hyperactif !? »
Les années suivantes nous avons vu notre enfant se développer de façon toujours
vive mais sans accrocs. Nous le pensions vif, mais sans plus.
Il est vrai qu’il nous a un peu étonné lorsqu’il nous a montré qu’il faisait des soustractions complètement axées sur le quotidien vers 3 1/2 ans…et qu’il nous sollicitait pour des « devinettes » arithmétiques (calcul mental en fait) ou encore qu’il avait très bien compris à l’oral le mécanisme des syllabes avant l’âge de 5 ans. Il était également très demandeur pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture vers 5 ans, mais dans le souci de ne pas « devancer » l’enseignement scolaire, je freinais des quatre fers… tout en m’interrogeant sur le bien-fondé d’un apprentissage de ces matières… si tardivement. Je dois préciser que je viens de l’île Maurice, au système scolaire anglo-saxon où on apprend à lire et à écrire à l’école primaire … l’année de ses 5 ans. Et ce, à travers 2 langues étrangères du fait de l’histoire culturelle : la majorité des enfants ayant le créole comme langue maternelle alors que l’enseignement est en anglais et le français une langue de communication importante. Il est à noter qu’il existe par ailleurs une « passerelle » pour ceux de début d’année (nés entre Janvier et Mars), sous forme de petit test d’aptitude : l’enfant de début d’année « apte » au vu des résultats à ce test étant alors invité à sauter une classe pour se retrouver avec des enfants présentant le même développement. Ceci se faisait il y a 40 ans dans un pays relevant du « tiers monde »… Mais revenons à . Il était très pressé d’entrer en CP pour apprendre et « avoir des devoirs ». Mais peu de temps après il a commencé à s’ennuyer. Il fut reçu par le RASED qui, sans nous en parler au préalable, plutôt qu’un test de QI, opta pour la passation d’un test d’entrée en CE1 à l’automne de sa CP. A l’issu de ce test nous avons été convoqués pour un compte-rendu . On nous y apprit qu’il avait réussi ce test à plus de 80%, mais que pour des raisons de lenteur à des rubriques où la lenteur n’était toutefois pas un critère d’évaluation ( !) et parce qu’il savait « on se demande comment les résultats à des calculs sans savoir les poser » (car bien entendu, trouvant très profitable que notre fils s’amuse à faire du calcul mental, et me refusant toujours de devancer l’école, je m’étais bien abstenu de lui apprendre à poser les calculs !!!), il serait en difficulté dans la classe supérieure si les enseignants décidaient de le faire sauter une classe…. Notre petit bonhomme de 7 ans pleura devant l’injustice et l’illogisme d’une telle réflexion. Il finit toutefois sa CP avec de fort bons résultats et peu d’éclats… et peu d’enthousiasme aussi. Interrogative, au cours de l’été je me documentai un peu sur le sujet de la précocité.
Après quelques semaines de CE1, notre fils se mit à faire des difficultés
pour se lever, pleurant et décrétant que c’était « trop nul l’école car [il]
savait déjà tout ça ». Retrouvant de vieilles coupures de journaux traitant
du sujet et qui m’avaient interpellées avant même d’être mère – allez savoir
pourquoi…- j’ai retrouvé les numéros de téléphone de diverses associations en
faveur des enfants « précoces ». J’eus un contact très positif (une oreille
très attentive et bienveillante) auprès de Mme Véronique Gaillard de l’AE-HPI
Languedoc-Roussillon, qui me conforta dans l’idée que mon enfant présentait
bien des aspects de l’enfant « précoce ». Elle m’informa également de la
tenue d’une réunion d’information mensuelle et GRATUITE et comble de chance,
la prochaine séance avait lieu le Samedi suivant.
Je me résolus à m’y rendre, encore timide et peu sure de moi quant à la bonne démarche à adopter et gênée par ma « grosse tête de mère qui fantasme sur son enfant » comme me l’avait fait remarqué des proches à qui j’avais timidement osé m’ouvrir sur le sujet de mes interrogations de mère attentive. En tout cas ce fut une chance que d’avoir pu assister à cette réunion, précisément à cette étape cruciale de mon questionnement, car en répondant à un petit questionnaire concernant mon fils, sur 18 questions je me retrouvai à cocher affirmativement plus de 15. J’y rencontrai également une psychologue anciennement psychologue scolaire, qui quelques jours plus tard rencontra mon fils afin de lui faire passer le fameux test de QI. Il est à remarquer que cette démarche rapide nous fut possible parce que nous avions les moyens de consulter une psychologue en libéral. Je tiens à signaler 2 choses assez troublantes. Alors que j’étais jusqu’alors assez indécise quant à la démarche à suivre, du jour où je me suis dite que j’allais assister à cette réunion, mon époux et moi-même avons senti mon fils apaisé et beaucoup plus serein, comme soulagé qu’on s’intéresse enfin vraiment à son « problème ». De même, lui qui peut être si timide et réservé s’est montré tout à fait enthousiaste et volontaire lorsque je lui annonçai qu’il rencontrerait une dame qui lui ferait passer des petits tests sous forme de jeux/questions. En tout cas, bien nous en prit car il s’avéra que notre fils de 7ans 3./4 avait un QI total de 151 points avec un raisonnement perceptif établi à 155 points. C’est-à-dire que non seulement il était HPI, mais même THPI… De plus, le bilan psychologique nous apprit qu’Il avait « développé un syndrome dépressif en réaction au contexte scolaire au sein duquel il ne s’épanouissait plus ». Et bien sûr, malgré toute notre attention, nous n’avions pas soupçonné cela ca notre fils a toujours été un enfant qui « prend sur lui ».
Au vu de ces résultats, j’osai finalement retourner voir le conseil
pédagogique de l’école et ce, avec le soutien du maître de cette année là qui
m’avait approché quelques temps plus tôt pour me dire que « ça va bien vous
savez. » Et, devant mon manque de réaction (car en effet, consciente du
manque d’ouverture du corps enseignant sur le sujet,.je m’étais résolue à ne
plus aborder le sujet, fût-ce de loin ) il avait ajouté : « Ca va même très
très bien… ». Ce qui me permit de parler plus librement des démarches qu’on
avait entrepris unilatéralement.
Le dialogue avec l’école fut donc rétabli grâce à cet enseignant et son ouverture d’esprit, et l’équipe pédagogique décida à l’unanimité d’un saut de classe à la rentrée suivante (saut de la CE2). Quant au trimestre restant, le maître proposa avec l’accord de sa direction, de lui donner du travail supplémentaire, lorsqu’il finissait en avance (ce qui était coutumier). Notre fils adora cela : qu’on lui demande de faire des choses « plus compliquées » … mais en réalité simplement en accord avec ses capacités réelles et l’effort qu’on pouvait légitimement solliciter de sa part pour maintenir son intérêt - et non correspondant artificiellement à l’étiquette de niveau de classe d’âge à laquelle il appartenait. Sa CM1 s’est merveilleusement bien déroulée. Quelques semaines après la rentrée il disait spontanément « Je ne suis pas forcément celui qui finit toujours en premier, mais je me sens à ma place » ou « Au moins je ne m’ennuie plus ». Il y avait toutefois une certaine lenteur en ce qui concernait la graphie. En fin d’année il disait « Quand même je m’ennuie parfois en maths. C’est trop facile »? Il avait plus de 18,5 de moyenne générale pour l’année, sans aucun effort… à part pour l’écriture et l’apprentissage des tables de multiplications… qu’il se dit toujours incapable d’apprendre, préférant retrouver les résultats à chaque fois… De même, il a encore du mal à apprendre les verbes, lui qui a pourtant avidement dévoré plus de cent romans de 100 à 500 pages au cours de l’année... Le « par coeur » non contextualisé lui étant toujours très difficile.
Il est probable que sans notre intervention personnelle, grandement aidée par
le soutien moral et la somme d’informations apportées par une association de
parents bénévoles telle que l’AE-HPI, notre enfant particulièrement sage et
docile, serait encore à se morfondre dans la classe correspondant à son âge -
ou alors, en train de ruer dans les brancards, car en grandissant il est plus
affirmé et turbulent - et aurait peut-être fini par décrocher d’ennui…
Je tiens à dira par ailleurs, qu’étant moi-même enseignante d’anglais dans le second degré, avant même d’être confrontée personnellement à ce sujet, à plusieurs occasions, j’ai été choquée par les propos de certains enseignants sollicités par des parents suite à des test de QI. J’ai ainsi entendu des réflexions pleines de sarcasmes , telles que « Ah encore un p’tit génie. Combien celui-là ? Ah ces parents… » que ce soit en primaire (où j’intervenais ) ou en secondaire. Ces réactions basées sur des manques de formations voire simplement d’informations, sont inacceptables concernant des professionnels censément responsables de l’éducation de publics hétérogènes, dont des « précoces ». Car quel gâchis que de passer à côté de tels trésors, car outre le fait de ne pas arriver à développer toutes ces potentialités, il arrive que faute d’une sensibilisation et d’un savoir-faire adapté, les enseignants les mènent à un échec scolaire inéluctable. Voire à un échec personnel… Même s’il est évident que les enseignants seuls ne sauraient être tenu responsables de tout... Mais on ne peut nier qu’en ce qu’il s’agit des problèmes d’apprentissages et d’enseignements, tout naturellement, les parents ont tendance à avoir une foi absolue dans les professionnels que sont les enseignants, sans avoir aucunement conscience à quel point ceux-ci sont dépourvus, peu aidés et absolument pas formés, ni même informés concernant ce « problème », ainsi que d’autres, tels que la dyslexie, l’autisme ou bien d’autres handicaps… De même, j’ai été fort étonnée, voire choquée, d’apprendre que les psychologues non plus ne sont pas forcément formés à ce qu’est la précocité intellectuelle et les spécificités de fonctionnement s’y rattachant. Ce qui est aberrant à notre époque après toutes les avancées internationales significatives en psychologie et neurosciences. Il m’arrive de penser qu’être un enfant « HPI » dans ce monde régi par des normes si strictes et absolues, présente nombre de similitudes avec l’état d’extra-terrestre sur terre.
Concernant la rigueur avec laquelle on détermine la classe « normale » d’un
enfant, je me suis toujours étonnée de l’absolutisme avec laquelle on
s’attache à dire qu’un enfant doit être en CP l’année (civile ! ) de ses 7
ans… alors même que l’année scolaire, elle, est décalée de 3 mois. Cette
double contradiction montre l’absurdité absolue de l’application rigoureuse
de cette règle. Car non seulement on ne tient pas compte de la variabilité du
développement entre l’enfant né en Janvier et celui né 12 mois plus tard…
Mais en plus, si on voulait pousser la logique à son terme il eût fallu se
caler non sur l’année civile mais sur l’année scolaire en cours. Entrerait
alors en CP l’enfant qui a ou aura 7 ans entre le 1er Septembre et le 31 Août |
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Le
saut de classe nous a sauvé ! tics, irritabilité, crises de larmes... |
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Deux enfants
HPI, diagnostiqués en maternelle suite à un changement radical de leurs
comportements après quelques mois de scolarité : maux de ventres à
répétitions et refus de se rendre à l’école véritables crises de larmes et
hurlements en chemin, irritabilité excessive à la maison alors que tous deux
étaient gentils, capables d’écouter pendant des heures des histoires et
curieux de tout. Dans les deux cas, il fallut se bagarrer pour faire
reconnaître leur spécificité d’enfants HPI par les enseignants, et ce malgré
des rapports de psychologues sérieux et le soutien d’associations.
L’obtention de sauts de classe fut l’issue de véritables bagarres avec les
représentants de l’éducation nationale, deux commissions d’appel gagnées et
miraculeusement une proposition spontanée de saut du CM1 pour l’aîné après
une sensibilisation de Madame Véronique GAILLARD dans l’école et …soit dit en
passant une véritable révélation pour l’équipe enseignante qui maintenant a
parfaitement intégré le cas des HPI et poursuit seule ses prises en charges …
et oui c’est possible ! |
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Choisir entre : Exil ou Ennui
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Je suis en
enseignante en primaire, il est très difficile de mettre en place un passage
anticipé car ces enfants sont très souvent mal perçus et donc souvent
"mal reçus"...En un mot : que les gens sachent qu'ils n'ont pas
"la science infuse" !!! |
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Les hpi, toujours trop jeunes pour
satisfaire leurs besoins |
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Mon fils vient de rentrer
en 3ème avec 1 an d'avance. Il doit effectuer un stage en entreprise en
décembre ; il a moins de 14 ans et donc se trouve bloqué dans le choix des
entreprises, car trop jeune ! Il est passionné par les avions depuis
plusieurs années, veut devenir pilote de chasse et l'Ecole Supérieure des
Métiers de l'Aéronautique à Montpellier (ESMA) serait l'entreprise la mieux
adaptée pour lui. SAUF QUE son professeur de technologie m'a appris hier
qu'il était trop jeune et ne pourra pas aller où il souhaite. Au motif, qu'il
y a eu jurisprudence... Et qu'il ne pourra aller que dans une entreprise
familiale ou dans une structure publique. Qu'en est-il alors ? Quelle aide
pouvons-nous avoir pour satisfaire leur besoin ? |
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HPI, un long calvaire menant
parfois jusqu'à l'hospitalisation |
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Je suis la mère d'un
adolescent HPI (dix-sept ans), et je veux juste attester des souffrances
qu'il a vécues tout au long de sa scolarité (primaire et secondaire, car au
lycée cela va mieux) de par sa "différence", son
"décalage" : il a été mis à l'écart par ses camarades, harcelé,
voire même persécuté. Son enfance n'a été qu'un long calvaire, et cela parce
qu'il n'existe pratiquement pas de structure en France pour accueillir ces
enfants, pratiquement pas de classes spécialisées pour eux, et qu'on les
abandonne à leur solitude. Il y a des systèmes d' aides aux élèves en difficultés
d'apprentissage, où sont celles qui permettraient à ceux qui ont un fort
potentiel de l'utiliser, et de s'épanouir ? |
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Solution d'enfant HPI : passer le
moins de temps à l'école |
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Je suis un
enfant HPI et j'ai sauté plusieurs classes. Il y a eu une année où beaucoup
d’élèves m’embêtaient car j’étais plus petits qu’eux et ils me traitaient
d’intello alors que je n’en suis pas un. Je ne me vois pas comme cela, je me
vois comme un enfant normal avec la capacité d’apprendre plus rapidement !
Peut-être un peu plus sérieux qu’eux. Parfois, j’ai l’impression que ce sont
eux qui sont plus jeunes que moi. Cette classe avait une mauvaise ambiance et
j’ai passé l’année à avoir mal au ventre, à la tête, c’est l’année où j’ai eu
le plus d’absence. Cette année je suis avec des élèves assez sympas. |
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L'élève HPI visuel, auditif
... propositions |
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ESPERANT
apporter de l'eau O moulin qui mouline ... dans l'histoire chacun sait qu'il
est IMPOSSIBLE de réformer quoi que ce soit...
J'aime l'idée plus constructive de suivre le chemin tracé par notre madame du gouvernement sc po et énarque (je n'ai plus son nom) qui a créé, l'attention des parents et avec le soutien du gouvernement, Le site pour que les parents crééent leur école... LE PB de tous les parents C'est le temps. Véro c'est là dedans qu'il faut se lancer et dépenser ton énergie (TOUT ce qu'il te reste... il y a AGIR puis REAGIR avant d'être pompé jusqu'à la moëlle...) Si vous n'avez pas lu cet article et souhaitez le retrouver je vais tenter de le retrouver (un magazine challenge de cette année, ce me semble ...). Bref, tout un programme soutenu par le gouvernement à lancer avant 2012 ! merci pour votre EXTREME investissement ! 1/ Refonte du mode de travail actuel : Bcp d'attention demndée en cours avec bcp d'oral et les enseignants ne veillent pas à mettre par écrit la moelle du cours étudiée au travers de docs/vidéos/photos/textes... En fait ce type de travail sur doc (qq soit le support) aboutit à des prises de notes et donc bcp d'infos éparses (dont des notes perso de l'enfant.. hum!) décrivant travail sur document que l'enfant ne sait pas retravailler seul chez lui. - ex1: ma fille en 5ème (enfant visuel) en Hist/géo : cours avec bcp d'oral et de travail sur documents mais le texte du cours n'intégre pas ces études de docs. L'enfant a du mal à faire le lien/intégrer ses études orales au cours lsqu'il relit son cours. L'enseignant doit lui montrer sa démarche = lien entre les docs et le cheminement du cours car l'enfant met naturellemnent de côté cartes géo et documents historiques/graphiques car son cerveau ne sait pas apprendre le visuel qu'il considère comme de l'anecdote. L'enseignant doit "écrire le visuel" dans le cours. Stress de ma fille à chaque contrôle car ne sait pas par où prendre le cours. Le prof donne une fiche de questions pour travailler dont elle ne trouve pas les réponses dans son cours écrit ...Aïe ! Mon fils avec ce même enseignant d'hist/géo = Bcp d'écoute, bcp d'interêt et nous racontait toutes les anecdotes mais jamais d'excellentes notes car ne parvenait pas à apprendre ce cours... qu'il croyait avoir assimilé en classe en écoutant. - ex2: langue allemande. Notre fils en 3ème (enfant auditif) avec ALLEMAND : idem bcp d'oral en allemand. Même pb qu'avec ma fille à la prise de note avec le prof qui demande prise de note et bcp d'écoute/attention.
Enfant serait capable d'écoute ? mais pb relationnel et blocage avec
enseignant + surcharge d'heures de cours.
Prendre des notes car cela nécessite 100% d'attention (même à la fac BAC +4 les profs dictent !?). 2/ Surcharge d'heure de cours= L'enfant est trop nerveusement fatigué et donc impossible de maintenir une attention identique de 8h-12h / reprise 13h30-16h30. Car les emplois du temps intègrent bcp d'heures d'étude 3/ pb salles études : étude très bruyante pas d'endroit où "pauser" son cerveau. Interdit d'étudier au CDI et pas assez de places.... dommage! car Besoin de salles favorisant l'étude= ambiance feutrée (revêtements sols silencieux type moquette, meubles au murs ou étagères pour limiter la résonnance etc. bref bibliothèque avec revues pour ceux qui ne veulent/peuvent pas travailler...) 4/ Nos ados ont besoin de sommeil et on les fait lever bcp trop tôt ! (on sait qu'il s'endorment tard et sommeil pas très bon cauchemars...) 5/ On les fait travailler aux pics de la " sieste" (11h30 hypoglycémie quand déjeuner 7h00) et 13h30 (sortie de la cantine 13h00). Les cours de 11h-12h et 13h-14h00 les enfants travaillent à 20% de leurs capacité... 6/ Nos ados ont bcp d'énergie créatrice = on ne stimule pas suffisamment le cerveau créateur leurs aptitudes en sport/arts/musique. Il faudrait du 50/50 pour oxygéner les cerveaux. RYTHME IDEAL ?
- 8h30-12h30 de travail concentré/intellec
7/ poids cartables : pourquoi ne pas équiper les enfants d'IPAD avec les
livres dessus en cours ? et donner les livres papiers (pour qu'ils restent à
la maison) ou licence accès pour les parents demandeurs équipés d'un
IPAD/ordi à la maison.
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